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Régénérer la Terre et l'Humain

Succession naturelle, retour à l'homéostasie, créer et vivre dans des paradis, conscience d'ensemble et alignement des valeurs ...

 

Approche des interactions combinées

 

Exemple des pollens :

 

Cela fait deux ans que je constate des plans politiques autour de la santé, qui cherchent à prévenir les risques d'allergies (état d'inflammation devenant désagréable). Les pollens ayant été considérés comme responsables de certains symptômes, des mises en garde sont promues à l'égard d'un "agent extérieur" dont il faudrait se méfier.

Mon discernement s'active donc aussitôt en flairant la supercherie puisqu'un phénomène aussi naturel que la libération de pollen par les floraisons du règne végétal est nécessairement un élément de contexte dans lequel la physiologie humaine a évolué et doit continuer à évoluer. Voici comme je peux expliquer les interactions entre l'agent et le receveur.

 

Les pollens sont des ferments lactiques. Ils peuvent être perçus aussi par leurs fréquences, leurs notes.
Ils sont produits par et dans un contexte, puis y sont disséminés.


Selon le milieu/terrain/microbiote sur lequel ils se déposent :
  - la symbiose prend (mise à jour évolutive résultant de l'union de deux entités) exemple : sporulation sur le sol, ou sur l'écorce, favorisant l'émergence d'une mousse, ou aide à la digestion d'une matière.
  - ou l'immunité maintient l'homéostasie sans problème (maintien garanti du soi), le pollen composte alors
  - ou la réaction est l'allergie (inflammation) comme mobilisation accrue de ressources pour traiter l'information complexe à cet endroit de rencontre

Dans chaque cas c'est de métamorphose dont il s'agit, bénéficiant ou non du passage à un état évolutif. Profitons de ce sujet pour conscientiser les interactions entre des parties du Tout, au service d'une distribution d'un plan d'ensemble.

 

Au lieu de participer à la peur, entraidons nous à être ouverts et forts pour accepter l'existence de ferments dans nos vies.

 

Exemple des plantes "invasives" :

 

L'ambroisie, la renouée du japon, le rumex, la vergerette du canada ... sont présentes en grande proportion sur une surface, quand la germination de leurs graines est plus favorisée que celles d'autres plantes. Les facteurs déterminants cette sélection à la levée de dormance peuvent aisément être classés selon l'aspect électro-chimique des quelques dizaines de millimètres de part et d'autre de la surface du sol. Les échanges gazeux et la température, l'humidité, l'acidité ou l'alcalinité sont liés aux ressources mobilisables par les processus d'aggradation écosystémique. Un manque de carbone et de sels minéraux requiert une reconstitution du stock minimal pour réamorcer un chaine microbiologique et certaines plantes pionnières sont excellentes pour cette fonction, durant une phase. Lorsque le processus est laissé libre ou même encouragé (semis de semences de plantes pionnières), un sol appauvri et compacté, se verra couvert durant deux ou trois ans par ces espèces, avec leur proportion qui va décroitre graduellement au bénéfice d'autres espèces et d'un mulch de surface qui est petit à petit intégré dans les premiers millimètres et centimètres du sol. Dès que les mycéliums s'épanouissent sur la matière ligneuse en contact du sol, et à l'abri des rayons solaires, les graines des plantes invasives cessent de germer, alors que d'autres semences sont dans des conditions favorables.